« Connaissez-vous quelqu’un qui n’aime pas le Comté ? » Derrière les spots publicitaires, une stratégie cohérente et complexe s’opère pour développer et entretenir l’image du Comté.
La commission Publicité participe à la promotion du Comté, développe et entretient sa notoriété, accompagnant ainsi les ventes aux côtés des stratégies commerciales des affineurs. Les 15 à 20 membres de cette équipe ont une responsabilité importante : la création et l’achat d’espaces publicitaires sur les médias de masse (TV, radio, internet, presse et affichage) jouent un rôle stratégique majeur dans l’image du Comté et pèsent lourd financièrement. Il s’agit donc de choisir le bon chemin ! Pour cela, Thierry Bardey, président de la commission, s’appuie sur une équipe très variée, dont les membres sont représentatifs des quatre collèges du CIGC. « Avec les professionnels du Comté autour de la table, nous ne pouvons pas perdre de vue le sens du collectif et celui du produit. Les valeurs du Comté priment. Ainsi, les changements de cap, portés par tous, se font en douceur », assure Aurélia Chimier, responsable du service Communication du CIGC.
Et vous, connaissez-vous la suite ?
Ces deux dernières années, la commission Publicité n’a pas chômé revoyant entièrement le positionnement de la communication autour du Comté, afin de toucher un public plus jeune.
Après une phase de réflexion, place désormais à l’action avec des campagnes TV et digitales ciblées en cette fin d’année, reprenant le déjà célèbre spot « Et vous, connaissez-vous quelqu’un qui n’aime pas le Comté ? »
La commission travaille en étroite collaboration avec des agences spécialisées dans la création et l’achat d’espaces publicitaires. Elle a par ailleurs régulièrement recours à des instituts d’études pour observer l’évolution de l’image et de la notoriété du Comté, celle « des usages et des attitudes » liés au Comté, mais aussi en phase de pré-test ou de post-test d’une campagne publicitaire. « Ces études nourrissent notre réflexion et permettent de vérifier que nous allons dans le bon sens », explique Aurélia Chimier.