Évidemment en ce début d’année 2025, on rêverait d’un environnement politique et économique enfin plus engageant ! Sans commentaire, c’est ainsi …
Cela ne doit pas nous empêcher de mesurer et d’apprécier les avancées et les réussites de la filière. Bien au contraire, car à l’évidence elles sont avant tout le fruit de notre exigence et de nos efforts collectifs.
L’aboutissement de notre 10e cahier des charges, novateur et très consistant, l’activation de nos règles de régulation de l’offre restrictives, l’engagement permanent de tous au service de la qualité et les moyens de communication importants que nous déployons sont révélateurs de la capacité de la filière à
gérer le présent et à agir pour l’avenir.
Ne voyez pas dans ces propos une quelconque et naïve satisfaction qui masquerait les efforts restant à fournir, à l’aube de l’entrée en application de notre nouveau cahier des charges. Je pense aussi aux difficultés à gérer la fin de cette campagne dont les droits à produire sont amoindris.
Néanmoins, la confiance que les consommateurs nous ont accordée en 2024, se traduisant par des ventes d’un bon niveau, est pour nous un très bel encouragement à persévérer dans cette voie.
S’« il n’est de vent favorable à celui qui ne sait où il va » alors notre boussole orientée vers la qualité, l’exigence et l’authenticité nous autorise à nous souhaiter une bonne année 2025. Elle sourit déjà au 7e art autour du Comté et à ceux qui le font ou qui essaient* …
* Pour ceux qui n’auraient pas encore vu le film « Vingt Dieux », le jeune héros essaie de faire du Comté, mais ne connaissant pas le cahier des charges, son fromage n’a pas fière allure.
Des ventes favorables
